Eeat : Vos restes peuvent faire des heureux
Si vous avez des restes de repas dans votre frigo et que vous ne pourrez pas les finir, sachez qu’au lieu de les mettre à la poubelle, vous pouvez les donner aux plus démunis.
En effet, c’est ce que propose Eeat, une start-up montée par Lionel Larroque et Frédérique Pierre, deux amis toulousains. Ils se sont rendus compte, à la veille d’un départ, qu’ils avaient des restes dans leur frigo. Après être aller voir leurs voisin, qui acceptèrent volontiers leurs petits plats, les deux amis décident de créer une plateforme pour mettre en relations des personnes qui ont un surplus à donner et d’autres qui sont dans le besoin.
Tous les plats sont vendus 2€. Les personnes désirant mettre des denrées en ligne le font gratuitement sur la plateforme où ceux qui recherchent un repas pas cher, peuvent ainsi les contacter. Les deux parties peuvent se donner rendez-vous à mi-chemin de leur domicile pour effectuer l’échange qui peut concerner des denrées mais aussi des restes de repas. Cette idée a attirée plus de 130 personnes lors de la période test d’un mois en région toulousaine.
Aujourd’hui la petite entreprise cherche à se faire connaitre, pour ainsi développer un tissu social et culinaire au niveau national.
En effet, c’est ce que propose Eeat, une start-up montée par Lionel Larroque et Frédérique Pierre, deux amis toulousains. Ils se sont rendus compte, à la veille d’un départ, qu’ils avaient des restes dans leur frigo. Après être aller voir leurs voisin, qui acceptèrent volontiers leurs petits plats, les deux amis décident de créer une plateforme pour mettre en relations des personnes qui ont un surplus à donner et d’autres qui sont dans le besoin.
Tous les plats sont vendus 2€. Les personnes désirant mettre des denrées en ligne le font gratuitement sur la plateforme où ceux qui recherchent un repas pas cher, peuvent ainsi les contacter. Les deux parties peuvent se donner rendez-vous à mi-chemin de leur domicile pour effectuer l’échange qui peut concerner des denrées mais aussi des restes de repas. Cette idée a attirée plus de 130 personnes lors de la période test d’un mois en région toulousaine.
Aujourd’hui la petite entreprise cherche à se faire connaitre, pour ainsi développer un tissu social et culinaire au niveau national.
Valentin B.
Sources :
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire